Vingt-quatre heures seulement après la célébration de la fête de laid el fitr ou la fête de Ramadan par les musulmans de Guinée, le pays se trouve plonger dans un drame survenu à la plage de Taouyah, où des milliers de jeunes avaient pris rendez-vous pour se recréer après 29 jours de pénitence.
Pourtant des imams avaient prévenu d’éviter de clôturer leur jeûne par des choses prohibées, telles que la danse et la consommation de l’alcool. Mais comme le destin est inévitable, on ne peut se plier à la volonté de Dieu ; a affirmé le 1er imam de la grande mosquée de Conakry.
Selon l’imam, la religion condamne un tel acte. Et il pense que les responsabilités incombent aux organisateurs qui n’ont pas pris les mesures idoines pour prévenir une telle situation.
Certains religieux s’interrogent sur les conditions d’inhumation de ces personnes décédées à ce lieu de divertissement, à savoir si elles auront droit à la prière funèbre ? La- dessus, El hadj Mamadou Saliou CAMARA est claire.
« Prié le corps d’un musulman est un devoir pour les fidèles. Tous ceux priaient avant ce drame auront droit à la prièrefunèbre.», Dixit le grand imam de la mosquée de FaÏçal.
Il faut toujours adapter votre action à votre religion a conclu le grand imam de Conakry.
Saliou D