L’Association des Femmes Journalistes de Guinée, finance par l’USAID à travers FH1360 et ses partenaires ( Search for Common Ground et Social impact ) a organisée 24 au 26 mai 2019 à Kindia, un atelier de formation sur la vulgarisation des résultats de l’étude portant sur le niveau d’accès des femmes aux soins de santé à Conakry, Boke et Kindia.
Dans son adresse, Mme Kourouma Hadidatou Sall, chargé de la formation des Associations des Femmes Journalistes (A.F.J Guinée) a fait savoir que cette formation s’organise dans le cadre de leur projet intitulé niveau des femmes aux soins dans les structures sanitaires de Conakry, Kindia et Boké.
« Parmi les activités que nous dévons familiarisés en plus des enquêtes, c’était la formation des journalistes en plus la vulgarisation des résultats obtenu. Donc, nous sommes là aujourd’hui, ces deux formations, nous avons déjà fait celle de Conakry et aujourd’hui nous faisons la formation avec des journalistes de Kindia et de Boké. A l’occasion, nous allons discuter autour des grandes conclusions, d’enquête que nous menés dans ce projet-là.
Mais bien avant cela, nous revenons d’abord sur certains bases du journalisme, qu’est-ce que l’éthique et la déontologie, l’écriture journalistique et nous allons parler des sujets tabou. Pourquoi travailler sur ce sujet de santé dans le contexte Guinéen, comment se comporte face à des résultats d’une enquête .Donc, on va un peut travailler sur ça .Et la dernière Journée on va travailler sur la production de l’émission et qu’est -ce qu’il faut faire pour enrichie la production de l’émission » souligné Mme Sall,
« Puis que ce projet vient de l’initiative des Associations des Femmes Journalistes, mais on voit que des hommes que les femmes, pour cause elle fait le point. Encore puis que ça parle de la sante, en envoyant les invitations, on a insisté pour que ça soit les présentateurs des émissions Santé ou des reporters qui traitent des sujets de Sante. Donc, c’est ce qui fait que dans la salle il n’a pas des femmes journalistes, il n’y a qu’une seule femme d’un media d’ici qui présente une émission de Sante. Et les autres ces des correspondants, donc ces des journalistes généralistes, ils ne sont pas spécialisé en Sante. C’est raison pour laquelle il y a que des hommes que des femmes », précise-t-elle
Au terme, elle a fait de présence et les financières de ce projet (Les nombres de participants pour la journée d’aujourd’hui, on a 17 participants au total. Et ce projet est financé par l’USAID à travers FH1360 et ses partenaires il s’agit de Search for Common Ground et Social Impact).
A noter que l’AFJ-Guinée et ses partenaires ont procédé à la formation de deux groupes de journalistes issus de la presse privée et publique venant de Boke et de Kindia, en vue de vulgariser les résultats d’une part et d’autre part, d’aider les femmes à être mieux informer sur les réalités en matière de santé dans leurs localité.
Mohamed Lamine Dramé pour Africavision7.com