Depuis que l’annonce a été prononcée par le gouvernement guinéen dirigé par le premier ministre chef du gouvernement, Dr. Ibrahima Kassory Fonana pour l’augmentation du prix du carburant à la pompe, on ne fait qu’assiste aujourd’hui à l’augmentation du prix des produits dans nos différentes boutiques. Aujourd’hui, les boutiques remplis par les marchandises vendues par certaines personnes connaissent une flambée énorme ou on ne fait qu’augmenter ces prix. Donc, est-ce que c’est normal que nos propres frères fassent subir nos paisibles populations guinéennes ?
Vue ce comportement désastreuse réalisée par certains boutiquiers de la place, notre site d’information général Africavision7.com est allé à la rencontre de certains habitant de la place.
L’augmentation du prix du carburant à la pompe reste aujourd’hui en Guinée un sujet très brulant et très critique à l’égard de tous les guinéens dont : la société civile, les sinters syndicats qui aujourd’hui se bat a d’arrache-pied pour faire revenir à la raison l’Etat guinéen par rapport à une tel décision. Cette augmentation du prix à la pompe ne touche pas seulement les fonctionnaires mêmes nos paisibles populations qui vit dans les différentes communes à travers les différentes quartiers de la place, récent la même cause. Alors est ce que c’est normal que la population guinéen connaît cela. Pour répondre à cette question aussi importent, certaines évoque leur pensée.
« Aujourd’hui, c’est vraiment décevant de la part de nos dirigeant d’avoir augmenté le prix du carburant à la pompe, ce n’est pas normal que nos vendeurs augmente également leur tient », évoque Mr. Alseny Camara plombier.
« Nous même nous sommes très méchants entre nous, comment ce faite-t-il que les boutiquiers, nos propres frères peuvent ce mêlé à ce problème. Donc, ce n’est plus l’appelle d’accuser l’Etat guinéen mais plutôt nous-même », affirme Momo Bangoura l’administrateur du grand marché Madina.
« Ce n’est pas nous les fautifs mais plutôt, c’est l’Etat Guinéen qui est à la base mais aussi qui ne soucie même pas de leur paisible population », a-t-il martelé Mr. Daillo.
« Aujourd’hui, il faudrait que tout le monde y compris la société civile, les sinters syndicats prennent leur responsabilité afin que le prix du carburant à la pompe revient au prix normal ». Exprime ce fonctionnaire.
Il reste à savoir si le gouvernement reviendra sur sa décision en baissant le prix à la pompe à une somme de 8000fg comme avant.
Aboubacar Sylla