Dans la lutte contre la mal gouvernance, la Guinée a aspiré à la pluralité et la libéralisation des ondes de radios. Aujourd’hui cet idéal est Sali par une bande de charognards qui se sont fait rendez-vous à la radio planète Fm. Dans la boite, du directeur général à la dernière personne de la rédaction, la médiocrité est perceptible, ce, par des traitements des informations qui se traduisent en diffamations des innocents.
Quand on parle aujourd’hui de la pollution de la presse guinéenne, c’est le fait que les bergers se sont lancés dans le métier avec un seul point de ralliement : La radio planète Fm où une vague de journaleux, en longueur de journées se pavanent à la quête, même pas des informations mais des sous : ils sont communément appelés des journalistes alimentaires. A cause des sous, Ils font mêmes du choc dans les évènements (3 journalistes se superposent pour un seul évènement).
A la radio planète Fm, il faut le dire une bande de poltrons se disant journalistes continuent à faire du métier une marchandise en ventilant le nom des personnes innocentes, des accusations qu’ils pondent de leurs secondes orifices après leurs gueules. Ils ont pondu des accusations à tort à l’égard de la rédaction du journal le Projecteur et à son directeur de publication.
Ce retour de l’ascenseur aux farfelus de planète Fm s’adresse non seulement aux journalistes artificiels de la dite rédaction mais aussi à son malhonnête et indigne directeur général qui, dès le lendemain de l’animation de leur émission diffamatoire pipait, chantait et sortait sous sa langue comparable à celle du varan, le nom du journal le projecteur à tout visiteur qu’il a vu le petit matin. Ce qui justifie d’ailleurs que le directeur général de planète Fm est synonyme de médiocrité, d’incompétence donc un grand promoteur de médiocrité dans la presse guinéenne parce qu’il regroupe les bons à rien ni niveau ni expérience.
La radio que nous nommons dans cet article ‘’professeur de la diffamation’’ a de nouveau montré ses limite de réflexion en racontant
des bavures et des bobards dans une émission animée le dimanche passé. Les individus immoraux, par le biais du micro tout en se trompant se sont intéressés à la rédaction du projecteur.
Les pigeons se sont servis de leurs becs et griffes pour diffamer à tort la rédaction du journal Le Projecteur ou de même le nom du directeur de publication a été chanté tout au long de l’émission. Ces provocateurs inhumains se sont à nouveau trompés de cibles et à gare à eux. Comment des simples transporteurs de sons peuvent toucher une telle rédaction ? Comment des poulets visiteurs qui peuvent être chassés de planète Fm du jour au lendemain peuvent-ils s’attaquer à une rédaction autonome comme le projecteur ? Oui, c’est une diffamation, les lâches de planète Fm ont sorti d’eux en disant qu’un journaliste du projecteur est allé au ministère des droits de l’homme et des libertés publiques répondre au nom d’une radio (planète Fm) qui a des seules sources des rumeurs et du conditionnel. Oui, s’il est vrai que cela s’est effectivement passé, qu’ils apportent des preuves , la fiche sur laquelle ce journaliste s’est inscrit, sa signature et son numéro de téléphone
A planète Fm, les bergers se disant journalistes font tout sauf le journalisme, ils s’enfichent de la déontologie du métier mais pas étonnant simplement ce n’est pas leur travail, le niveau des badauds est inexistant.
De l’anarchie, de faux animateurs de l’émission se sont confondus aux critiqueurs d’un journal qui n’a rien à foutre avec eux, mais ce n’est pas eux c’est la faute de l’irresponsable et l’in sérieux directeur de la boite. Quant au rédacteur en chef, le malade ne s’est pas en sorti même un vent de mots pour la vérification d’une information montée contre un autre média. Il a laissé passer l’information parce qu’il dévie de son chemin de chef des rédacteurs, il les a laissé s’aventurer.
Ce retour de l’ascenseur va performer la personne du directeur de planète pour qu’il puisse désormais contrôler ses esclaves pour toute publication ou animation. Il va lui permettre non seulement un dégonflement au niveau d’un laisser-aller mais aussi au niveau de sa propre personne.
La médiocrité à planète Fm n’est un secret pour personne, car après le départ de Madian Sidibé, à la recherche des hommes compétents, le changement des directeurs généraux pousse comme des champignons.
Au clair, la haine et la folie des indignes travailleurs sans exclusion de la radio planète Fm ne se feront que chier par eux- même, car il n’est pas facile de faire tomber un baobab dit-on.
Affaire à suivre….
Source : Alsény Fadiga, Directeur de publication du journal Le PROJECTEUR
NB: Ce texte a été publié sur le site Africavision7.com par l’autorisation de l’Auteur du texte.