Dans le but de renforcer les capacités nationales de la Guinée et des pays impliqués pour un meilleur exercice de la durabilité environnementale afin de permettre de garantir l’utilisation de l’approche intégré nécessaire à la mise en œuvre d’ODD, un atelier de renforcement des capacités pour la production, gestion et l’utilisation des données statistique de l’environnement en appui de la mise en œuvre de l’UNDAP c’est tenue en Guinée ce mardi 27 novembre 2018 à Conakry.
Ont pris par à cet atelier : Oyé Guilavogui, ministre D’Etat à l’environnement, le représentant du système des nations Unies, les participants venant dans les différentes pays de l’Afrique dont : le Bourkina Faso, le Togo, Mali ainsi d’autres personnes.
Dans sa communication, le ministre d’Etat de l’Environnement des Eaux et Forêt Oyé Guilavogui a d’abord remercier les particiapants d’avoir prendre part à cet atelier. Malgré tous les facteurs défavorables qui frappent le secteur de l’environnement, la part de la contribution directe de l’environnement et des ressources naturelles évaluées dans bon nombre de pays africains dépasse 40% de leur produit inferieur brut national. A-t-il affirmé. Plus loin, il dira que : les études faites, favorables montré que les allocations budgétaires au ministère en charges de l’environnement pour restituer la part des dégâts causés à l’environnement ne dépassent guère 1% du produit inferieur brut national comme on peut le constater, le bilan est déficitaire de l’environnement. Car, le secteur donne toujours plus qu’il n’en n’est reçoit ; et la situation ne garantit pas l’avenir de nos pays, a fait comprendre aux participants.
En plus du capital économique, la mauvaise gestion des pertes en vue humaines .Rien que la population et de l’utilisation des bois peut sécher par 80% de la population de la population en Afrique est sources des pertes des vue humaines de plus de 600.000 personnes de chaque année et 4 millions dans le monde. Les ressources naturelles étant bien effectuées par le développement socio-économique, il est nécessaire de les considérer comme des biens économiques et, en conséquence, les intégrer dans un système adapté pour leur garantir une gestion efficace et durable. Ne pas procéder de cette façon considérait nos pays à un coût élevé de l’inaction qui ne rendra pas possible une lutte efficace contre la pauvreté à la hauteur attendu du PNDES. A-t-il ajouté.
Comprendre que la nécessité d’appuyer le gouvernement guinéen pour renforcer les capacités à la fois du ministère en charge de l’environnement et de la direction nationale de la statistique pour la génération et de l’utilisation des données statistiques environnementales reste une action capitale qui mérite l’attention des autorités nationales. Par ce que ,dans de nombreux cas ,les coûts relatifs à l’environnement , les dépenses nécessaires pour maintenir le capital des ressources sont exclus des analyses économiques qui, sont fondées sur des modèles d’estimation rationnelle alors, que de telles études devraient faire l’objet d’ une analyse de rationalité dans leur contribution à l’économie qui reposerait sur le principe selon lequel , les ressources naturelles dans leur contribution à l’économie sont considérés comme des valeurs rigoureusement comptables désagrégées ou non.
Aboubacar Sylla pour Africavision7.com
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