L’Organisation de défense des droits de l’homme et du citoyen (OGDH) et la Fédération internationale de défense des droits humains (FIDH) ont conjointement animé mercredi une conférence de presse à Conakry.
Mais avant que les conférenciers ne commencent, les victimes ont perturbé la rencontre en dénonçant « le manque de transparence » de l’OGDH dans la gestion des fonds que l’organisation « reçoit » en leur nom.
Quand il y a eu assez de bruits, la présidente de la Fédération internationale de défense des droits de l’homme (FIDH), Souhay BELHASSEN, Asmaou Diallo, présidente de l’AVIP, Flaurent GEL entre autres, ont quitté la salle.
« C’est nous les victimes. Donc quand on voit des gens qui ne sont pas des victimes nous vendre… Nous sommes venus ici aujourd’hui pour démentir, à leur présence, tout ce qu’ils racontent pour que le monde entier sache, que c’est du mensonge qu’ils racontent », lance une victime.
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