Les thérapies à base de sang et les sérums peuvent être utilisés dès « maintenant » dans les pays affectés par l’épidémie d’Ebola, tandis que la sécurité sanitaire des deux premiers vaccins sera connue en novembre après des tests, notamment au Mali, a annoncé vendredi l’OMS.
« Nous sommes parvenus à un consensus », a déclaré aux médias Marie-Paule Kieny, assistante au directeur général de l’OMS, à l’issue d’une réunion de deux jours à Genève avec près de 200 experts.
AFP