Avant d’annoncer le report du scrutin législatif et référendaire sur la nouvelle Constitution, le président guinéen Alpha Condé a fait face à une intense offensive diplomatique, notamment de la part de ses homologues ouest-africains.
Le double scrutin référendaire et législatif qui devait se tenir le 1er mars en Guinée a suscité de nombreux remous diplomatiques dans les jours qui ont précédé l’annonce de son report.
Après que l’OIF eut annoncé, le 24 février, son retrait du processus électoral, la Cedeao a décidé de dépêcher une médiation de chefs d’État à Conakry pour tenter de reporter cette consultation contestée par l’opposition.
JA