Après la grande finale de la 32ème édition de la CAN 2019 qui s’est tenue du 21 juin au 19 juillet en Egypte, dont la finale opposait entre les Fennecs d’Algérie et les lions de Lateranga Sénégal qui s’est soldé sur le score d’un zéro (0 -1) en faveur d’Algérie, le débat se trouve maintenant au niveau du pénalty que le Sénégal a obtenu à la dernière minute du jeu.
Sur ce, le président de la Confédération africaine de football (CAF) Ahmad Ahmad a tranché en disant ceci : « Je compare cela à un pilote d’avion qui doit accumuler un certain nombre d’heures de vols. C’est pare il pour l’arbitre qui doit avoir un certain nombre d’heures d’utilisation de la Var. Avant la Can, seuls quatre arbitres (africains) étaient aptes à faire usage de l’assistance vidéo.
Aujourd’hui, ils sont seize. Mieux, deux arbitres européens nous ont assistés durant cette Can. Lors de la finale, le grand patron de l’arbitrage à la Fifa était présent. Comme quoi il faut s’entraider pour maîtriser cet outil.
Concernant les divergences de vue sur son utilisation, c’est tout à fait normal. Mais, avec la Var, je trouve qu’on ne peut que rendre justice. Si on prend comme exemple ce penalty que l’arbitre a failli accorder au Sénégal (contre l’Algérie en finale) », martèle le président de la Caf, Ahmad Ahmad, dans Libération.