La crise qui secoue le monde actuel à travers la guerre Urkraino-Russe, le gouvernement guinéen à travers le Ministère de l’Agriculture et de l’Elevage s’active déjà sur le terrain a poussé la corporation socioprofessionnelle à s’investir dans le secteur agricole. C’est pourquoi, ce vendredi 15 avril 2022 à Conakry, le ministre de l’Agriculture et de l’Elevage entouré de son cabinet a conféré avec les hommes de médias pour leur faire part de l’importance de ce secteur.
A l’entame de ces propos, le ministre de l’Agriculture et de l’Elevage, Mamoudou N’Nagnalen Barry a d’abord remercié tous ceux qui ont fait le déplacement à cette conférence de presse avant d’indiquer qu’« Aujourd’hui, vous le savez que la crise qui secoue actuellement le monde à travers la guerre Urkraino-Russe reste aujourd’hui, les conséquences qui pèsent sur la sécurité alimentaire Mondiale, que notre pays doit y faire face. L’Etat est en train de faire ce qu’il peut pour réduire ces risques au sein de notre pays, c’est pour cela que le Président de la transition a instruit le premier ministre de faire tout son possible pour améliorer la production en Guinée afin de réduire de façon considérable notre dépendance vis -à- vis des importations alimentaires.
Aujourd’hui, le président de la transition a instruit à chaque ministre de faire au moins 50 hectares afin de contribuer de leur manière à la production agricole, et après cette instruction de la part du président, vous avez remarquez que tous les opérateurs économiques du pays doivent faire un sursaut patriotique de contribuer aussi évidemment de leur manière à la production agricole de cette année. Le groupe Albert sonoco lui seule empoche plus de 15 milles hectares, le groupe Guico-press, et promet de faire 5 milles hectares ; le groupe Guiter- Sa aussi promet de faire 7500 hectares cette année, mais il y’a un groupe d’étranger qui promet également de faire 17 milles hectares.
Aujourd’hui, beaucoup de pays sont entrain de fermer leurs frontières pour l’importation de certains d’arrhées tels que le maïs, le blé. Si on ne produise pas localement, il y aura un risque très important qui va toucher notre pays. En 2023 quand, les autres fermerons leurs frontières, on pourra qu’à entendre qu’à nous-même c’est pour cela dès maintenant, il faut se mettre à la tâche pour ne pas qu’il arrive à avoir un problème. Il faut comprendre que le métier agricole est un métier rentable qui peut apporter beaucoup de choses à la Guinée. C’est l’un des rares investissements dans les quelles tu mets 100 milles pour sortir 400 milles. Donc, le secteur est très rentable qu’actuellement au niveau du Ministère on n’a deux produits prioritaires qui sont entre autres, le riz, et les produits agricoles, et puis aussi les produits maraichers qui sont aussi une priorité pour notre département ».
Parlons des médias, le ministre promet d’accompagné les journalistes pour ceux qui veulent investir dans le secteur parce qu’il y’a un fonds de développement agricole qui a été payé depuis 2 ans qui n’était pas du tout opérationnel, et qui n’a jamais eu de ressources budgétaires pour faire le travail. Donc, le président de la transition a vraiment décidé d’appuyer ce fonds.
Aujourd’hui dit-il, il y’a 50 tracteurs qui ont été mis au marché, et ouvert à tous les guinéens. Ces tracteurs sont vendus à des prix très abordables, et aussi avec les conditions de remboursement très flexible. Donc concrètement, il y a des tracteurs de 90 chevaux qui sont vendus par le développement du fond agricole à un prix de 330 millions, et la personne intéressée paye d’abord la moitié et le restant ait payé sur 2 ans ou 3 ans en fonction des activités faites sur le terrain.
Par rapport au coût des engrais, le ministre explique que l’engrais qui prévient essentiellement de la Russie est produit à partir de matières premières. Avec tous ce qui se passe déjà dans ce pays, le prix de l’engrais a été fortement augmenté de 50% à cause de la crise sanitaire. « On n’a déjà commencé à faire la vente de ces engrais, l’État n’achète pas l’engrais, il facilite l’achat. Dans les livres en Guinée, notre pays à 6, 2 millions d’hectares de terres d’arabe. Aujourd’hui, la Guinée a par conte 13, 7 millions d’hectares de terre, 56% du territoire guinéen peut être utilisé pour faire une bonne agriculture. Donc, il y’a des hectares pour tous les guinéens pour faire de la l’agriculture », a-conclu le ministre
Aboubacar ll Sylla 626007479