Les responsables des cliniques privées de Conakry et les maires des cinq communes de la capitale se sont rencontrés, mercredi 18 mars dans les locaux de la primature dans l’optique d’évaluer les problèmes spécifiques lies à la réticence de la fièvre Ebola afin d’en finir.
D’entre, le premier ministre chef du gouvernement, Mohamed Saïd Fofana à tout d’abord rappelé aux délégations spéciales des cinq communes et les comités de veille de la zone spéciale de Conakry qu’il y’a encore de la réticence à Conakry. Les comités de veille des différents quartiers ne font que baver a leur responsabilité. A-t-il fustigé le PM
Concernant la méthodologie que les agents sanitaire doivent adopter pour éradiquer Ebola avant le 15 avril prochain, Saïd Fofana dira que les responsables des structures sanitaires doivent être équipées, maitriser la méthodologie pour permettre d’orienter les malades vers les spécialistes tout en ordonnant l’application stricte des instructions données par la Coordination de Riposte contre Ebola.
Pour Jacqueline Loua, directrice communale de Matoto, les comites de veille doivent travail en synergie avec les chefs de quartiers.
De son côté, les responsables des différentes cliniques ont tour à tour évoqué leurs préoccupations notamment la marginalisation des cliniques privées par le gouvernement, le manque d’équipement dans leurs structure et le renforcement de la capacité entre la Coordination de Riposte et les cliniques privées.
A la fin de cette rencontre, le premier ministre, Mohamed Saïd Fofana a sollicité la mise en place d’un numéro vert, la construction d’une salle d’isolement au sein des cliniques privées et aussi aux responsables des cinq communes de Conakry d’être responsable face à Ebola.
Camara I Sory