Mais le noir me fait peur.
Le jour me plait,
Mais les plaisirs da la journée
Me font honte
Car, ça donnent du verbe
Aux mauvaises langues
Ah ! Mais chaque temps à sa chose,
Et chaque chose à son temps
Comme chaque place pour une chose
Et chaque chose pour une place
La nuit pour la procréation
Le jour pour la perpétuation
J’aime la journée,
Mais les bruits me tourmentent
Et la nuit, le silence, les confidences mais le noir !
Oh ! Nuit, Oh ! Jour
Que de deux tours
Voila au finish le comble de l’existence.
Alpha Abdoulaye Diallo extrait de « les Vers du printemps »