Après un entretien avec le roi Philippe de Belgique qui a promis le soutien du royaume pour le sommet sur Ebola qui aura lieu le 1er mars à Bruxelles, le président Alpha Condé et son homologue malien, Ibrahim Boubacar Keita, ont ouvert l’après midi du 23 janvier, au centre international de Congrès de Davos, une importante rencontre sur Ebola : le nouveau contexte d’une pandémie.
De nombreuses personnalités ont pris part à cet événement de clôture : le président de la Banque mondiale, Kim Yong Jim, la directrice de l’Oms, Margareth Chan, Helen Clark, directrice générale du Programme des nations unies pour le développement, le directeur de CDC, Francis Collins, directeur de la santé aux Etats Unis, Ertharin Cousin du world Food organisation, la baronne Valérie Amos, l’ancien secrétaire général de l’Onu, Kofi Annan, le Premier ministre ivoirien, Daniel Kablan Duncan, Tony O Emelu de sa fondation Emelu, Gabriel Fitzgerald Dr de Ebola program, Lakshmi Mittal, David Nabaro, représentant spécial de l’Onu pour Ebola, Akihito Tanaka, chef de la coopération internationale japonaise, etc.
Devant ce parterre de personnalités, quelques pistes ont été soumises à exploration : la plupart des pays frappés par la crise Ebola devraient retenir les épreuves de la maladie et mettre en avant, une sérieuse politique de coordination sur le plan sanitaire, aussi bien sur le plan national qu’international. Y compris en direction du secteur privé, seul capables de financer des vaccins destinés au pays du Sud, la mise en place d’un agenda de travail et d’assistance.
Les participants promettent également de miser sur un important travail de communication. Et penser au next day, comme dit l’ancien Premier ministre anglais, Gordon Brown. Car, après la maladie, il faut du temps pour cette nouvelle transition avant que la confiance ne revienne totalement, notamment du côté des investisseurs et des touristes.
Le BPP pour Africavision7.com