Comme il est de coutume, à l’approche chaque fête de Tabaski, les fidèles musulmans du monde en général et ceux de la Guinée en particulier s’offrent des moutons de qualités pour s’acquitter de leur devoir religieux.
À Mamou le parc ne manque pas de bétails mais le prix reste élevé pour les citoyens qui ne savent plus sur quel pied s’appuyer.
Au marché « Yinguema » situé dans le quartier poudrière commune urbaine de Mamou, clients et vendeurs discutent les prix des moutons qui varient entre 8 00 000 francs à 1 800 000 francs guinéens.
Dans ce parc, les citoyens sont arrêtés par groupe et négocient les prix qui sont à prendre ou à laisser.
Rencontré au sein du parc à bétails pour connaître les causes de cette hausse que les citoyens qualifient de vertigineuse, Thierno Issa Sow, le président des vendeurs des moutons se méfie de tout commentaire. « Nous sommes occupés, veuillez passer plus tard », a laissé entendre Thierno Issa Sow
Pour l’heure, les citoyens nécessiteux vont et viennent dans le marché et dans le but d’avoir un animal de qualité et à bas prix. Chose qui n’est pas du tout possible.
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