C’est dans un climat seringue, et parfaite conviviale que le système des Nation Unies contenu a célébré le 73éme anniversaire de ladite Institution. Ce 24 octobre 2018 à Conakry, les personnels des Nations Unies ont répondu massivement à la commémoration.
Etaient présents : le ministre de la Justice Garde des Sceaux, Me Cheik Sacko, le coordinateur par intérim du système des Nations Unies, Mr Marc Rubin et d’autres personnes.
Au nom du président de la République de Guinée, le ministre Cheik Sacko a tout d’abord remercié le système des Nations Unies pour la célébration du 73éme anniversaire des Nations Unies avant de noter ceci : « Ce 24 octobre de chaque année est commémoré comme la journée Internationale des Nations Unies regroupant, en son sein les États capable de remplir les obligations prévue par les Nations Unies en vue de sauvegarder la paix, et la sécurité internationale, et l’institué entre les États, une coopération politique, économique, sociale, et culturel fondé sur le respect de principe de l’égalité du droit de peuple ».
Plus loin, il a souligné la République de Guinée a l’instar des autres pays du monde, s’inscrit dans cette dynamique en célébrant, la création d’organisation des Nations Unies. « La célébration du 73éme anniversaire de notre organisation se tient dans un contexte économique, et sociale complexe, qui pourrait affecter les progrès que nous avons déjà réalisé, notamment la réduction des inégalités par la mise en œuvre des programmes du développement », explique-il
Le thème retenu de cette année est : ‘’Faire de L’ONU une organisation pour tous ; une force mondiale fondé sur les responsabilités partagé au service des sociétés pacifiques, équitable et durable, nous interpelle tous’’.
« L’un des défis relevés, c’est le combat contre la misère, et la pauvreté pour éviter aux générations futures les conséquences néfaste du sous-développement. A cet égard, l’invite a été donnée aux États à respecter leurs engagements dans le cadre de la mise en œuvre de l’agenda 2030 des Nations Unies, ainsi notre ambition légitime du développement devrait aussi reposer aux protections de l’environnement, et la lutte contre le réchauffement climatique.
La dégradation de l’environnement ainsi que la violation des droits de l’Homme continue d’accroitre les besoin humanitaire, estimé aujourd’hui après de 22, 5 milliards de dollars. Nous sommes convaincues que les investissements conséquents dans la préservation des conflits, et à la recherche des solutions politique épargneront à l’humanité dénombrable fléau au quelle il fait face. L’organisation des Nations Unies demeure la seule Institution mondiale capable de préserver l’équilibre mondiale », ajoute-il
Le coordinateur par intérim du système des Nations Unies, Mr Marc Rubin a quant à lui indiqué ceci : « Le changement climatique vont plus vite que nous même, nous ne descendons pas les bras, car nous savons l’action climatique est la seule voie possible. Les droits de l’homme sont bafoués en bien de lieu, mais nous ne décédons pas les bras car, nous s’avons le respect des droits fondamentaux, et de la dignité humaine est une condition indispensable à la paix, les conflits se multiplient, les gens souffrent mais nous-nous ne descendons pas les bras car, nous savons que chaque homme, femmes, et enfant méritent de vivre en paix.
Aboubacar Sylla pour Africavision7.com