Le Centre International de Recherche et de Documentation (CIRD) a servi de cadre ce samedi 11 novembre 2017 à une conférence débat sur la cour pénale internationale en présence du personnel du centre, des Étudiants ainsi que la presse. Le thème est : « En quoi la CPI est un progrès ? »
A l’entame, le conférencier, Ghislain Poissonnier, magistrat a fait savoir que la CPI est une institution du droit pénale internationale. Et ajoute : « C’est une institution qui apporte un progrès substantiel en matière du droit pénale internationale et qui apporte également de grande contribution contre l’impunité.
Ceci dépend également de l’accomplissement de la bonne volonté de l’État qui collaborera toujours comme devrait le faire pour lui permettre de bien fonctionner. C’est ça l’objectif de cette conférence.
Aussi, de montrer en quoi “cette cour est un progrès ? « , En quoi sa créature constitue une avancée en même temps de montrer les limites qu’ils tiennent parfois effectuent la cour pénale. Les moyens financiers et humains qu’elle dispose, les limites qui tiennent de faite que les états de la cour sont très dépendantes de la bonne volonté des états ».
Parlant de l’objectif, le magistrat a dit ceci : « L’objectif était de faire une présentation de ce qui appartient à la cour, discuté avec les participants sur les enquêtes qui ont été menées par la cour pénale internationale.
De même, le juriste a souligné que la CPI est l’instant habilité à poursuivre les individus et non pas les États. « La cour poursuit les unités de sa compétence c’est à dire, les Etats qui ont ratifié les statuts de la cour pénale internationale. C’est que parfois, le conseil de sécurité peut décider de lui soumettre une situation, quelque cas pour la Libye, le Soudan on demandait un délit de poursuite contre des responsables, quand il y’a crime commis, dont un Etat qui n’est pas affiché à la cour ». explique-t-il
Avant de terminer, il a fait un rappelle sur la particularité de la cour en disant « C’est de juger les crimes internationaux, crimes de génocide et le crimes de guerre.
Eugène Capi Balamou
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