Fête de fin d’année 2016 : les enfants de Conakry à l’honneur !

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??????????Dans son souci de faire plaisir aux enfants des cinq communes de la capitale,  le gouverneur de Conakry, le Général Mathurin Bangoura, était hier, dimanche, 25 décembre dans les communes de Ratoma, Matam et Matoto.

Ils sont plus de  trois cents  enfants qu’ont  reçus  des  cadeaux de Noël  offerts par le  gouverneur de Conakry. Ce sont des paquets de formage en portion de huit,  des hélicoptères, des poupées, des pétards,  des friandises,  …

La joie était totale. A l’image de Kady Diaouné, plusieurs autres mamans venues accompagner leurs enfants ont bien apprécié le geste du gouverneur de Conakry qu’elles ont qualifié de ’’magnifiques’’. «  J’ai été informée par ma voisine qui m’a d’ailleurs présenté le cadeau de son enfant, un paquet de formages bien fermé. L’initiative est bonne. Faire des cadeaux  aux tout petits, les motivent et les rendent très heureux de vivre dans la société »,  soutient cette mère de famille.

Très satisfaite  de l’action, Mariam Kourouma, la responsable  de l’Agence de communication More&More,  estime garder une bonne image de ces gestes de charité faits par le gouverneur de Conakry. «  Vous avez vu les enfants ce sont précipités sur les cadeaux. Ça veut dire qu’ils sont vraiment contents de recevoir ces cadeaux offerts par le gouvernorat de Conakry.  On pensait à une cinquantaine d’enfants dans chaque commune mais le nombre à doubler voire tripler. C’est engouement  va surement renforcer notre motivation », dit-elle.

Cheikh Tidiane Diongue, directeur commercial marketing& communication de Diallo Mamadou Korka (DMK) en sponsorisant ces événements, confie que c’est pour faire du plaisir aux enfants. « Avec notre produit milkana, on s’est dit pourquoi n’est pas accompagné le gouverneur dans son projet de faire profiter les enfants de cette fête », note-t-il.

A son tour, le gouverneur de Conakry, le Général Mathurin Bangoura, souligne  que :« dans toutes les cultures, le don est essentiel. Il signifie, sous toutes les latitudes, une volonté de paix ».

Oumar Bowal Diallo